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Au Liban, le cinéma résiste malgré la crise

03 FÉVRIER 2025

L’Onde Porteuse a installé son plateau dans le hall de la Comédie pour vous faire entendre et vivre le festival du Court-métrage de Clermont-Ferrand. L’événement célèbre cette année le cinéma Libanais dans un focus intitulé Maabar (passage).

Avec les récentes fractures au Moyen Orient, le cinéma libanais est-il condamné à redevenir un cinéma de guerre ou de mémoire ? Dans quelle mesure il y a urgence à raconter et à montrer ce que traverse et vit la population ?

Au Liban, un cinéma fort et résilient !

À l’occasion de la 47e édition du festival international du court-métrage, Clermont-Ferrand accueille le cinéma libanais à bras ouverts. Une sélection empreinte de revendications et de poésie pour raconter les injustices qui persistent au Liban. L’Onde Porteuse s’interroge sur les défis auxquels s’exposent les réalisateurs engagés. Avec la participation de Nadyn Chalhoub Syriani, Samir Syrani et Wissam Charaf.

Trois invités(1)
Nadyn Chalhoub Syriani, Samir Syrani et Wissam Charaf (de gauche à droite) à l’occasion d’une émission enregistrée en public, dans le hall de la Comédie de Clermont-Ferrand, au Festival international du Court-métrage. Février 2025© L’Onde Porteuse

Animation : Mirela Dibra et Anthony Frutos

chronique : Marie Guinard

réalisation : Francisque Brémont et Brice Chauvet

avec l’aide de Benoît Bouscarel, Hugues Chevarin, Hélène Dias et Emma Delaunay

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