Avoir une bonne santé, c’est du sport !
05 MARS 2025
L’hiver, l’actualité, les douleurs physiques, le manque d’entrain… Les bonnes excuses pour ne pas faire de sport sont nombreuses ! Pourtant, l’activité physique est fortement recommandée pour prévenir des pathologies chroniques et contribuer au traitement du cancer, du diabète, de l’obésité ou même de la santé mentale.

Se sentir bien dans son corps, dans sa tête et dans sa vie !
Depuis 2012, le Dahlir soutien un public fragile dans la pratique du loisir. « On accompagne des personnes en situation de handicap ou des personnes isolées, éloignées de l’emploi » explique Joris Martin, coordinateur du Dispositif d’Accompagnement à la Pratique d’Activité Physique (DAPAP).
Musculation, fitness, sports de combat… En fonction des envies et des besoins de chacun, un parcours de loisirs bien spécifique est créé. L’objectif n’est pas de faire naître les champions de demain, mais bien de permettre à chacun de se sentir mieux dans ses baskets !
Car les bénéfices liés à une pratique sportive sont nombreux et n’impactent pas que notre corps. La fierté, comme la capacité à se dépasser ou l’ouverture aux autres rejaillissent sur tout un quotidien.

« On va travailler l’estime de soi, la confiance en soi, le sentiment d’utilité en plus du physique (…) Si une personne se sent capable de faire plus de choses au quotidien, c’est qu’il y a une meilleure santé physique, mais aussi une meilleure santé mentale ! »
Joris Martin, coordinateur DAHLIR Santé – DAPAP dans le Puy-de-Dôme
Chacun peut s’y mettre !
C’est généralement lors de l’apparition de pathologies ou d’accidents de la vie que la pratique du sport semble la plus difficile. En réalité, c’est dans ces moments-là qu’elle est la plus nécessaire. A titre d’exemple, une activité physique régulière après diagnostic d’un cancer du sein diminue de 24 % le risque de récidive selon la Fondation pour la recherche contre le cancer.
Ainsi, au Dahlir, tout est possible, tout est imaginable : seule la contre-indication médicale peut être un frein à certaines pratiques. Pour trouver la bonne, les équipes de professionnels s’appuient sur l’expérience des clubs locaux. Les associations résidentes de la Maison des Sports de Clermont-Ferrand ou l’ASM Omnisports, accueillent par exemple les bénéficiaires lors de leurs cours.
Si vous hésitez encore à sauter le pas, en raison de difficultés physiques ou psychiques, faites vous accompagner ! « Avoir une idée c’est bien, mais parfois c’est difficile de la mettre en place tout seul » avoue Joris Martin. « Nous on est là pour ça! »
Un sujet d’Alexandre Beauger et Leto Le Saux